Noburo: la synergie au travail
TRAVAIL COLLABORATIF. Des membres de Noburo se sont rassemblés, jeudi dernier, dans leurs locaux pour échanger entre eux et présenter le concept de leur espace de travail collaboratif à des gens intéressés à en savoir plus sur le fonctionnement et les services de cette communauté granbyenne d’entrepreneurs.
Le groupe d’une trentaine de personnes présentes à cette occasion était composé autant de membres de Noburo que de visiteurs.
Pascal Viscogliosi gère une petite entreprise de rédaction technique. Il est l’un des fondateurs de l’espace de travail collaboratif. «Nous ferons bientôt des annonces intéressantes dans le cadre de notre dixième anniversaire», a-t-il annoncé aux gens sur place, en ajoutant qu’il invitait les travailleurs autonomes locaux à venir découvrir les avantages de Noburo. «Nous allons organiser des 5 à 7 de ce genre tous les mois, pour que le plus grand nombre de personnes puissent nous connaître», a-t-il déclaré.
Bien connue dans la région pour avoir dirigé une boîte de communication durant plusieurs années, Roxanne Tétreault est aussi présente chez Noburo avec un nouveau projet d’affaires axé sur les services en cohérence stratégique pour les entreprises. «J’aime l’ambiance de Noburo qui favorise la créativité et qui permet de côtoyer d’autres travailleurs autonomes passionnés», a affirmé l’entrepreneure.
Pour sa part, Benoit Le Bail est à la tête d’une petite entreprise qui gère des projets de développement informatique, principalement pour des clients dans le secteur des assurances. Il est également responsable de l’intendance chez Noburo, notamment en s’occupant de l’intégration des nouveaux membres. «Nous faisons aussi beaucoup de location ponctuelle, par exemple à des gens qui ont besoin d’une salle pour donner une formation ou organiser une réunion», a-t-il expliqué. Il donne en exemple une entreprise active à Sherbrooke et à Montréal qui utilise les locaux de Noburo pour que ses employés se réunissent physiquement chaque mois.
Quant à Marie-Paule Villeneuve, qui travaille à la création d’une association régionale d’écrivains, elle est venue assister au 5 à 7 pour en savoir plus sur Noburo. «Je compte faire des démarches pour pouvoir utiliser cet espace de travail occasionnellement», a-t-elle dit.